Mes recherches sont multidisciplinaires et portent sur le rôle des intégrines et des petites GTPases dans les interactions hôte-pathogène. Plus précisément, je m'intéresse à la manière dont ces facteurs régulent la réponse immunitaire de l'hôte aux infections causées par les hantavirus et le SARS-CoV-2.
Les recherches menées au laboratoire Buranda sont multidisciplinaires et portent sur le rôle des intégrines et des petites GTPases dans les interactions hôte-pathogène. Plus précisément, je m'intéresse à la manière dont ces facteurs régulent la réponse immunitaire de l'hôte aux infections causées par les hantavirus et le SARS-CoV-2.
Nous avons développé des tests pour mesurer les interactions entre les virus et les cellules hôtes. Afin de pallier les contraintes de biosécurité liées au confinement de niveau BSL-3, nous avons établi un protocole approuvé par le comité de biosécurité pour inactiver les espèces virales par UV et marquer leurs membranes d'enveloppe par fluorescence. Cela nous permet de mener nos expériences hors du confinement de niveau BSL-3 tout en utilisant des équipements non disponibles dans cet environnement restreint. Nous avons ainsi utilisé les particules virales inactivées et marquées par fluorescence comme sondes pour des tests de découverte de médicaments et pour étudier les mécanismes d'entrée cellulaire.
En 2017, mon laboratoire a collaboré au développement de G-Trap, un test de cytométrie de flux à haut débit permettant d'étudier l'influence des virus ou des bactéries sur la liaison des nucléotides aux petites GTPases. Ce test permet de mesurer simultanément la charge en GTP de six cibles. Les petites GTPases jouent un rôle essentiel dans les voies de signalisation et les réponses immunitaires, ce qui nous permet de limiter efficacement le nombre de biomarqueurs diagnostiques à moins de cinq. Le test G-Trap est un outil particulièrement précieux pour nos recherches.
De plus, j'occupe le poste de directeur par intérim du Centre de découverte moléculaire de l'UNM (CMD)À ce titre, j'assiste les chercheurs principaux de l'UNM dans le développement d'essais à haut débit compatibles avec les plateformes de cytométrie de flux ou de lecture de plaques. En tant que directeur par intérim du CMD, je supervise le pôle Découverte et Réorientation de Médicaments (DDRC) du Centre de Sciences Cliniques et Translationnelles (CTSC) de l'UNM en intégrant les capacités de découverte de médicaments de notre pôle CTSC au réseau national du Programme de Prix de Sciences Cliniques et Translationnelles (CTSA) afin d'optimiser la découverte de candidats médicaments.
Nous soutenons la fonction OPIOIDD du CTSC (Core H2) dans le développement d'un test permettant d'évaluer l'impact des opioïdes sur la réponse immunitaire des patients à l'aide d'un biomarqueur unique (Rac1•GTP) afin de prédire les effets positifs et négatifs des opioïdes dans le traitement de la douleur chronique. Notre hypothèse est que la douleur et les opiacés modulent l'état d'activation des cellules immunitaires innées et adaptatives du sang périphérique dans une mesure distincte de celle des cas témoins. Nous avons récemment utilisé le test G-Trap pour analyser l'état d'activation des leucocytes du sang périphérique de 105 patients souffrant de douleur, identifiant ainsi des cas à risque potentiel de trouble lié à l'usage d'opioïdes (TUO). Nous considérons qu'il s'agit d'une première étape essentielle pour l'identification précoce des TUO, permettant ainsi une intervention précoce.
Rendez-vous sur Site Web du Centre de découverte moléculaire
Tione Buranda, PhD
Professeur agrégé
Directeur par intérim, Centre de découverte moléculaire (CMD)
IDTC2140
TBuranda@salud.unm.edu
505-272-1259
Publications au cours des dix dernières années : Lien vers PubMed
Les recherches menées au laboratoire Buranda sont multidisciplinaires et portent sur le rôle des intégrines et des petites GTPases dans les interactions hôte-pathogène. Plus précisément, je m'intéresse à la manière dont ces facteurs régulent la réponse immunitaire de l'hôte aux infections causées par les hantavirus et le SARS-CoV-2.
Nous avons développé des tests pour mesurer les interactions entre les virus et les cellules hôtes. Afin de pallier les contraintes de biosécurité liées au confinement de niveau BSL-3, nous avons établi un protocole approuvé par le comité de biosécurité pour inactiver les espèces virales par UV et marquer leurs membranes d'enveloppe par fluorescence. Cela nous permet de mener nos expériences hors du confinement de niveau BSL-3 tout en utilisant des équipements non disponibles dans cet environnement restreint. Nous avons ainsi utilisé les particules virales inactivées et marquées par fluorescence comme sondes pour des tests de découverte de médicaments et pour étudier les mécanismes d'entrée cellulaire.
En 2017, mon laboratoire a collaboré au développement de G-Trap, un test de cytométrie de flux à haut débit permettant d'étudier l'influence des virus ou des bactéries sur la liaison des nucléotides aux petites GTPases. Ce test permet de mesurer simultanément la charge en GTP de six cibles. Les petites GTPases jouent un rôle essentiel dans les voies de signalisation et les réponses immunitaires, ce qui nous permet de limiter efficacement le nombre de biomarqueurs diagnostiques à moins de cinq. Le test G-Trap est un outil particulièrement précieux pour nos recherches.
De plus, j'occupe le poste de directeur par intérim du Centre de découverte moléculaire de l'UNM (CMD)À ce titre, j'assiste les chercheurs principaux de l'UNM dans le développement d'essais à haut débit compatibles avec les plateformes de cytométrie de flux ou de lecture de plaques. En tant que directeur par intérim du CMD, je supervise le pôle Découverte et Réorientation de Médicaments (DDRC) du Centre de Sciences Cliniques et Translationnelles (CTSC) de l'UNM en intégrant les capacités de découverte de médicaments de notre pôle CTSC au réseau national du Programme de Prix de Sciences Cliniques et Translationnelles (CTSA) afin d'optimiser la découverte de candidats médicaments.
Nous soutenons la fonction OPIOIDD du CTSC (Core H2) dans le développement d'un test permettant d'évaluer l'impact des opioïdes sur la réponse immunitaire des patients à l'aide d'un biomarqueur unique (Rac1•GTP) afin de prédire les effets positifs et négatifs des opioïdes dans le traitement de la douleur chronique. Notre hypothèse est que la douleur et les opiacés modulent l'état d'activation des cellules immunitaires innées et adaptatives du sang périphérique dans une mesure distincte de celle des cas témoins. Nous avons récemment utilisé le test G-Trap pour analyser l'état d'activation des leucocytes du sang périphérique de 105 patients souffrant de douleur, identifiant ainsi des cas à risque potentiel de trouble lié à l'usage d'opioïdes (TUO). Nous considérons qu'il s'agit d'une première étape essentielle pour l'identification précoce des TUO, permettant ainsi une intervention précoce.
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Tione Buranda, PhD
Professeur agrégé
Directeur par intérim, Centre de découverte moléculaire (CMD)
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Publications au cours des dix dernières années : Lien vers PubMed
Adresse postale et de livraison PI :
Tione Buranda, Ph.D.
Département de pathologie
MSC08 4640
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Albuquerque, NM 87131
Expédition de laboratoire :
UNM-HSC
915 Chemin de Salud NE
IDTC2280
Contact laboratoire/chercheur principal :
Téléphone : 505-272-1259
Contact administratif:
Angie Miller
Email: ALMiller@salud.unm.edu
Téléphone : 505-272-4814